Piano Quintets

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Quintets


First name: Thierry
Last name: Escaich
Dates: 1965
Category: Quintet
Nationality: Scottish
Opus name: La Ronde (2000)
Publisher: Billaudot
Peculiarities: http://brahms.ircam.fr/works/work/25906/ http://catalogue.cdmc.asso.fr/EXPLOITATION/form.aspx?SC=DEFAULT#/Detail/(query:(Id:'21_OFFSET_0',Index:22,NBResults:73,SearchQuery:(CloudTerms:!(),ForceSearch:!t,Page:2,QueryString:'piano%20quintet',
Information: (translation needed) Pratiquant dès l'enfance l'improvisation, Thierry Escaich commence ses études musicales au conservatoire de Rosny-sous-Bois puis de Montreuil avant d'entrer au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris. De 1983 à 1990, il y obtient huit premiers prix : harmonie, contrepoint, fugue, orgue, improvisation à l'orgue, analyse, composition et orchestration. À partir d’octobre 1992, il est lui-même professeur d’écriture et d’improvisation au Conservatoire supérieur de musique et de danse de Paris. En 1997, il est nommé titulaire du grand-orgue de l’église Saint-Etienne-du-Mont à Paris, devenant alors le successeur de Maurice Duruflé. Il mène également une carrière internationale d’organiste. Passionné de cinéma muet, il accompagne fréquemment des films à l’orgue ou au piano. En 1999, le musée du Louvre lui commande la musique d’accompagnement du film de Frank Borzage L’Heure suprême. Comme compositeur, Escaich acquiert une solide réputation dès 1990 grâce à ses œuvres comme Le Chant des ténèbres ou Ad Ultimas Laudes, pour douze voix mixtes. Par son style très personnel, il ne se rattache à aucune école. Dès ses premières pièces telles que Antiennes oubliées pour petit ensemble (1989) ou les Esquisses pour orgue (1990), lauréate du prix de composition André Jolivet, ses compositions trouvent leur source dans des siècles de musique sacrée et en particulier dans le plain-chant grégorien : Cinq versets sur le « Victimae Paschali » pour orgue (1991), Première Symphonie, « Kyrie d’une messe imaginaire » (1992). Son catalogue comporte aujourd’hui près d'une centaine d'œuvres qui séduisent un large public. Pour son propre instrument, Escaich écrit de nombreuses pièces solistes, en ensemble ou avec orchestre : les deux concertos pour orgue (l'un de 1995 et l'autre de 2006), La Barque solaire (2008) et les Études-Chorals pour orgue (2010). Il aborde également des effectifs et des genres très variés, allant d'œuvres pour instruments seuls à la musique de chambre ou symphonique, de l'intimité des pièces telles que Choral’s Dream (2003) pour orgue et piano, ou les brèves Scènes de bal (2001) pour quatuor à cordes, aux vastes compositions comme la Première Symphonie (1992), Le Dernier Évangile, oratorio pour double chœur, orgue et orchestre (1999), la Chaconne (2000) et les Vertiges de la croix (2004) pour orchestre ou Les Nuits hallucinées pour mezzo-soprano et orchestre (2008). Après avoir été compositeur en résidence à l’Orchestre national de Lille et à l’Orchestre de Bretagne, Thierry Escaich exerce les mêmes fonctions depuis 2007 à l’Orchestre national de Lyon. Parmi ses œuvres récentes, un concerto pour violon à l’intention de David Grimal est créé en 2009, The Lost Dancer, ballet pour le New York City Ballet, créé en mai 2010, Questions de vie…, commande de Radio France, pour chœur, créé en mars 2011. Il reçoit de nombreux prix et récompenses, parmi lesquels le Grand Prix des Lycéens en 2002, la Victoire de la musique dans la catégorie compositeur de l’année trois fois, en 2003, en 2006 et en 2011. Plusieurs prix viennent aussi récompenser ses enregistrements, comme le Diapason d’or de l’année 2002 pour son CD d'œuvres orchestrales publié par Accord-Universal. © Ircam-Centre Pompidou, 2011 Sources •Universal Edition ; •Éditions Billaudot ;